Ce qui lui ferait peur n'est pas de perdre la main, mais de ne plus sentir la tienne, croisant la sienne, comme une tresse de chaque jour à vivre.
Il y a l'âme de ces deux mains au-dessus de la porte que l'on ferme pour se prévaloir d'un droit au retranchement,
retranchement des grands froids et des lourds soleils,
et il ne s'en retourne jamais avec autant de ferveur que sachant ta main déjà posée sur la poignée de cette porte alors qu'il vient de caresser le lion du heurtoir...