J'avais l'âme à vouloir tailler Glucksmann en pièces (je sais : on doit le respect aux morts, mais il y a des limites...). Bertrand Redonnet m'a précédé et il le fait avec tant de justesse et de dureté (et la dureté juste est une grande qualité) que j'incite tous les passagers de ce blog à le lire. C'est ici