On peut s'en tenir là. C'est-à-dire ici : le point de chute de tout ce qu'il a fit pour en arriver là. C'est ici que tout s'arrête, que tout se tient, brinquebalant, incertain, et pourquoi ne pas le dire, aléatoire.
Ainsi est-ce...
La déposition des armes (mais il n'est pas armé : une simple image pour résumer que tout est perdu, ou, dans une moindre mesure, qu'il ne cherche pas à gagner quoi ce soit).
La fatigue, diront ceux qui prennent leur agitation pour un signe existentiel.
S'en tenir là, mais n'est-ce pas déjà un effort immense que de tenir : droit, sérieux, méthodique, avec toute la concentration nécessaire pour trouver en soi, et sans en faire plus état, la force de ne pas renoncer complètement, complètement.