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alejo carpentier

  • Notule 22

    Il ne s'agit pas de raconter les livres, d'en dévoiler la matière, les tenants et les aboutissants mais de les faire connaître, sans chercher un classement cohérent, sans vouloir se justifier. Simplement de partager ce «vice impuni» qu'est la lecture.

    La littérature et la musique. La musique, ou les musiciens, comme matière. Le texte comme partition, d'une certaine manière.

    1-Thomas Mann, Le Docteur Faustus, 1954 (1947 en allemand)

     

    2-Alejo Carpentier, Concert baroque, 1976 (1974 en espagnol)

     

    3-Alessandro Baricco, Novecento : pianiste, 1997 (1994 en italien)

     

    4-Catherine Lépront, Le café Zimmermann, 2001

     

    5-Christian Gailly, Un soir au club, 2001

     

     

     

     

     

  • Notule 13

    Il ne s'agit pas de raconter les livres, d'en dévoiler la matière, les tenants et les aboutissants mais de les faire connaître, sans chercher un classement cohérent, sans vouloir se justifier. Simplement de partager ce «vice impuni» qu'est la lecture.

     

    Puisque l'année sera électorale, et donc forcément spectaculaire, autant se (re)plonger dans des romans politiques (laissons de côté -manière de parler- les écrits théoriques)

     

    1-Miguel Angel Asturias (Guatémala), Monsieur le Président, 1946


    2-Alejo Carpentier (Cuba), Le Recours de la méthode, 1974

     

    3-Léonardo Sciascia (Italie), Todo Modo, 1974

     

    4-Gabriel Garcia Marquez (Colombie), L'Automne du patriarche, 1975

     

    5-Reinaldo Arenas (Cuba), La Couleur de l'été, 1982