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La voix est haut perchée, presque à la rupture, en inadéquation avec l'allure du bonhomme (et plus encore aujourd'hui, tout massif et bourru qu'il est devenu).
Seul, avec une guitare (et un harmonica), il est sans rival.
Don't let it bring you down est extrait de l'album After the goldrush. Sans doute son meilleur après l'indépassable Harvest. Il s'agit ici d'une version live, de 1971.
Le billet nécrologique a un parfum facile et comme l'heure est au grand voyage d'une génération qui accompagna mon adolescence, il était plutôt urgent de faire le tour du propriétaire.
Plutôt que d'écrire un jour que Neil Young a gardé toute sa place, malgré les années, avec sa voix haut perchée, sa guitare électrique saturée et la simplicité des morceaux acoustiques, plutôt que d'avoir à en parler avec tristesse, un jour, écoutons ce 12 novembre, date de son anniversaire, trois morceaux d'anthologie.
The Needle and the damage done, de l'inégalé Harvest (1972), pour la simplicité voix-guitare.
Hey hey my my (into the black), d'un âpre Rust never sleeps (1979), pour le son (certains diront le bruit...)
Dead Man (bande-son du film de Jarmusch, réalisé en 1995), pour le mélange acoustique-électrique.