La rapacité affichée des deux premiers albums de Miossec (les opus suivants, ma foi, on s'en passera, ou presque) n'a jamais autant de vérité qu'aux premiers beaux jours, quand le cirque recommence sur les places et terrasses. Quelque chose qui vous remet les idées en place.
Il y a à Boire (1995)
et à Baiser (1997)