Tu ne peux vraiment te refuser au destin de ton ombre. Elle t'aggrave au mur d'enceinte et tu disparais à la noirceur du goudron frais. Elle t'a éparpillé sur le tas de feuilles mortes, quand elle perce ton cœur dans la rosace du soupirail. Elle n'insinue pas que tu n'es rien : elle en est la preuve vivante.