On en parle le moins possible. Valls n'en aura pas dit un mot. C'est la collaboration libérale dans toute sa splendeur. Le guignolesque Montebourg n'aura pas le commerce extérieur (1) : Fabius s'en charge, et l'on comprend pourquoi. Fabius, le retors et le servile, lequel sera la carpette qui ne négociera pas le traité transatlantique dont la conclusion sera le désastre absolu pour la France mais dira amen à tout. Les socialistes vendus courent à Canossa et les prétendus esprits de gauche qui ont voté la confiance au nouvel exécutif sont des traîtres ; l'UMP se tait, puisqu'elle consent. Et nous, que nous reste-t-il ? Faire le travail de la fourmi informative, modestement, pour que cela se sache et que le mot passe :
c'est donc ici :
http://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/WALLACH/49803
ici
http://l-arene-nue.blogspot.fr/2013/06/jean-michel-quatrepoint-laccord.html
ou là
http://www.pauljorion.com/blog/?p=62386
(1)En fait, il n'a rien, Montebourg. Il est payé à ne rien faire. Ministre de l'économie, quand on n'a pas les finances, le budget et le Trésor, c'est comme pisser dans un violon. La métaphore de la pourriture n'est jamais mieux illustrée que par ceux qui font mine d'être au-dessus et de se battre seul. Présomptueux et vulgaire...
Photo : Elliot Erwitt