Il faut aussi fermer la porte à nos séances d'analyse, à nos heures à chercher de repos et mettre au tiroir nos gribouillis inachevés. Mais ce n'est pas si simple, et nous avons aussi nos mièvreries, je l'ai déjà écrit dans un billet, de même que certaines choses qui ne passent pas, qui ne passeront jamais, dans tous les sens possibles du verbe, entre douceur, ardeur et mélancolie. Elles ne s'oublient pas, jamais. Comme le Decades de Joy Division, avec la voix glacée de Ian Curtis...